Comme toujours en ce 1er juillet, nous célébrons la fête du Canada. Ce merveilleux pays qu’est le nôtre fait l’envie de la très grande majorité des citoyens de la planète comme nous le constatons tous lorsque nous visitons les pays du monde.
Le Canada est grand. Il est beau. Il est riche. Il est au top de toutes les statistiques de l’OCDE en rapport avec la qualité de vie, les soins de santé, l’éducation, le PIB, etc… Quel pays fantastique ! Ce sont les Français qui l’ont découvert, l’ont exploré et qui y ont construit ses premières habitations. Ils ont créé Québec, la première ville en Amérique. Montréal sa métropole. Les francophones du Canada, où qu’ils soient, sont leurs descendants. Il y en près de 10 millions au pays. Même si les Anglais sont venus conquérir leur territoire, ils n’ont pas laissé tomber les bras. Grâce à sa solidarité, notre peuple a repris sa place et notre pays est aujourd’hui officiellement bilingue et biculturel. Pas autant que nous aimerions, certes, mais avec nos efforts persistants, nous pourrons assurer à la longue cette position.
Il y a et il y aura toujours des anti-Canada. Leur principale stratégie actuelle, pour se remplumer, est de jouer sur le sujet de la langue et particulièrement sur l’enseignement de la langue anglaise dans nos écoles. Ils disent ne pas s’y opposer mais leurs écrits nous démontrent qu’ils n’y voient que du mal. Je ne les comprends pas et je pose la question suivante : « Comment, comme parents, peuvent-ils s’opposer à ce que leurs enfants soient bilingues dans le monde d’aujourd’hui alors que la langue anglaise est devenue le dénominateur commun pour les relations entre pays, pour les affaires, pour le sport… ».
Leurs prêches cherchent à nous faire peur en nous mettant en garde qu’un Québec où ses citoyens seront bilingues, ne sera plus le Québec. Ils oublient nos lois et la volonté ferme de tous les Québécois d’origine, quelles que soient leurs tendances politiques, d’avoir un état français protecteur de notre langue, de nos traditions et de notre culture tout en assurant que tous les néoquébécois maitrisent la langue française. Nous voulons aussi que chacun de nous puisse avoir l’opportunité de s’ouvrir sur le monde et pour ce faire être en mesure de communiquer avec qui il voudra.
Quel que soit le continent, la langue anglaise est de plus en plus parlée et écrite partout. Ça aurait pu être le français, mais c’est l’anglais. L’Histoire du monde en a décidé ainsi.
Ce n’est pas un discours de fédéralistes triomphants qui veulent imposer leur vision des choses et gagner la faveur publique. C’est la réalité pure et simple. Ils ne veulent pas en finir avec le principe de « la seule langue officielle » ni rendre bilingue la fête nationale québécoise, comme le prétendent certains. Ils sont en accord avec l’effort pour inciter que les minorités anglaises et autres à apprendre et à parler le français. Et, heureux de constater que cet objectif est sur le point d’être atteint.
Le jour de la fête nationale québécoise est particulier et doit être conservé tel quel. Les francophones de toute tendance politique veulent que leurs enfants soient bilingues pour profiter de tout ce que la vie leur offrira. Et dire comme certains séparatistes, parmi les plus écoutés, que ce désir et cet effort pour l’atteindre ne sont que de « la folklorisation qui risque la dissolution pure et simple de la culture québécoise » n’est qu’une exagération simpliste et malhonnête qui cherche à nous éloigner du Canada. Le jour de la fête du Canada est important pour nous rappeler ce que nous sommes et le potentiel extraordinaire qui est le nôtre.
Si tous les Québécois deviennent bilingues, ou trilingues pour plusieurs, cela ne désincarnera pas notre nation francophone, ni « la déculturera », mais la renforcera. Le Québec ne deviendra pas « une simple entité territoriale » comme le prétendent les oiseaux de malheur. Nous demeurerons toujours la majorité au Québec et jamais nous renoncerons au Québec français. Le bilinguisme nous permettra de prendre toute la place qui est la nôtre dans le Canada.
Cessons de nous regarder le nombril et nous deviendrons plus grands et plus importants dans notre pays et dans le monde. Le Québec sera plus fort. Le Canada aussi.
Bonne fête à nous tous, les Canadiens.
Claude Dupras
16 commentaires:
Jean Poirier a écrit ce qui suite:
Je suis à 100% de votre opinion. J'ai travaillé et voyagé dans plusieurs pays. J'ai vécu ce que vous dites. Nous sommes les Canadiens français largement respectés,enviés et appréciés dans le monde . C'est notre pays, l'arrivée d'autres cultures surtout l'anglais nous a fait évoluer , grandir et devenir ce que nous sommes. Quand allons nous le reconnaitre et cesser de supporter ces éternels frustrés . J'ose espérer que les jeunes auront compris.
jean poirier
Cl a écrit;
Merci c'est très bien comme à l'habitude.
C. Lussier
Michel D. a écrit ce qui suit:
Ya rien à y faire mon cher Claude. Personne ne fête le Canada par icitte. Mais bon, on prend le congé avec un sourire et ... on déménage parfois. C'est ben pour dire ... Demain, Montréal sera comme ... endormie.
Bonne fête quand même à tous le canadiens.
Michel
Merci Michel.
C’est quand même triste que des citoyens ne célèbrent pas leur pays qui est reconnu comme des meilleurs de la planète. Heureusement que la jeune génération ne semble pas vouloir suivre ce désintéressement.
Je ne retrouve plus ta chronique sur Planète. Y a-t-til problème? J’aimais bien de te lire. Je trouvais cela rafraichissant…
Bonne journée du Canada
Claude
David H. a écrit ce qui suit:
Claude,
Merci pour l'invitation à lire votre blog.
En tant que anglophone,, mari d'une québecoise et < bilingue-insuffisant,> je trouve vos commentaires très importatants.
David Horley
Ottawa
Mon ami Gérard St-D. M'ÉCRIT CE MESSAGE:
Mon cher Claude,
Tant mieux pour toi si tu trouves si beau, si grand, si merveilleux ton Canada.
Tu me permettras de ne pas partager ton enthousiasme...
Depuis 6 ans le Canada a perdu ses lettres de noblesse...
Un pays où plus de 17,500 de ses citoyens (des indiens) n’ont même pas l’eau courante.
Un pays qui creuse de plus en plus son «déficit de crédibilité » à l’intérieur et à l’
étranger.
Un pays dont les dirigeants glorifient la guerre.
Un pays qui pratique une politique discriminatoire envers les immigrants.
Un pays qui supporte aveuglement les israéliens et approuvent leurs actions terroristes.
Un pays qui a changé sa vocation d’aide internationale pour l’orienter à des fins religieuses et idéologiques (avortement, contrôle des naissance, etc.
Un pays qui nomme des juges la Cour Suprême unilingues anglophones.
Un pays dont le premier ministre tente de manipuler les institutions démocratiques.
Un pays dont la direction rejette les valeurs scientifiques,et artistiques.
Un pays qui s’est attaqué avec beaucoup d’acharnement aux femmes,
Un pays qui a multiplié les dérapages et les distorsions historiques.
Un pays mené par un premier ministre imbu de lui-même et en 6 ans de pouvoir, n’a jamais pris le temps
de s’assoir à une même table avec ses homologues des provinces.
Un pays qui selon l’OCDE a vu l’écart entre les riches et les pauvres augmenter le plus.
Pour ses raisons et beaucoup d’autres, je ne pourra pas demain fêter le Canada.
Enfin mon cher Claude, depuis 10 ans, mon pouvoir d’achat a baissé de 9.7% et tu penses que je vais lancer des pétards de joie...NON.
Amuses-toi bien quand même.
je n’ai pas le cœur à la fête.
Ton ami,
Gérard
Merci Gérard pour tes commentaires.
Gérard
Un pays n’est pas le gouvernement au pouvoir. Si on le juge de façon si étroite, on met de côté, son Histoire, son environnement, ses services sociaux, sa liberté, sa démocratie, etc….
Je suis en accord avec toi sur quelques-uns des points que tu as énumérés. Mais je te soumets de revoir cette liste qui est grandement exagéré. Il ne faudrait pas que ton opinion d’indépendantiste, mette de côté les avantages du Canada pour des fins qui n’ont rien à voir avec ce qu’est en réalité notre Canada.
Bonne fête quand même.
Ton ami
Claude
Vivre et laisser vivre. Moi, je suis Longueuilloise j'y vis depuis très longtemps, Montréalaise (y étant née) Québécoise (je vis au Québec) et finalement Canadienne, puisque Longueuil, Montréal, Québec sont dans la Canada.
Je peux voyager d'un océan à l'autre sans passeport.
Que cet anniversaire apporte à votre pays et à vous tous la joie et la fraternité et une prospérité raisonnable.
Bernard et GG
Merci car je vais bientôt aux Iles de la Madeleine pour le première fois.
Le problème n'est pas celui du bilinguisme. Nos écoles ne réussissent même pas à donner à nos enfants une base suffisante en français. Personne n'est contre l'apprentissage de l'anglais ou de d'autres langues, mais prouvez-nous que c'est faisable en commençant par leur montrer le français de façon convenable. C'est ce qui est demandé. Et pas seulement par des séparatistes.
Je dirais que le problème est double. L’enseignement du français n’est pas à la hauteur requise et celle de l’anglais déficient. Je demeure persuadé que les deux langues peuvent être enseignées dans les écoles élémentaires et secondaires et collégiales.
Au Québec, nous sommes dans un bon milieu pour apprendre la langue anglaise du fait que nous sommes entourés d’anglophones, de journaux, magazines, radios, télévisions et de cinémas en langue anglaise sans parler d’internet qui utilise cette langue à 90%. C’est une situation idéale qui normalement devrait rendre l’apprentissage de l’anglais relativement facile. Mes petits enfants sont bilingues et ils l’ont appris dans leurs écoles (Candiac et nord de Montréal) et par leurs contacts avec tout ce qui se passe autour d’eux. Nous les avons toujours encouragés à le faire et le résultat est là.
C’est la solution : l’encouragement. Nous devons les encourager à bien maîtriser leur français et à apprendre l’anglais. C’est un effort constant qui finalement n’est pas si difficile que ça. Les parents c’est fait pour ça.
Les Français qui contrôlent bien leur langue, ne parlent généralement pas l’anglais et c’est pour eux un handicap dans les affaires et dans leurs voyages à l’étranger sans parler de la lecture et des autres aspects des communications.
Bonjour Claude,
Qu'il fait du bien au coeur d'entendre quelqu'un s'exprimer d'une façon aussi élogieuse envers notre beau pays, le CANADA.
Félicitations.
Diane et Linton
Monsieur Dupras,
Vous avez raison. Le Canada est un très beau pays comme la Suisse est un très beau pays, comme la France est un très beau pays, comme les Adirondacs dans l'État de New-York sont également très belles ainsi que la Gaspésie au pays du Québec. Pas nécessaire de faire partie du Canada pour vivre dans un beau pays.
Pour ce qui est de la question linguistique personne au Québec ne s'oppose au bilinguisme individuel. Si quelqu'un a besoin de l'anglais ou du chinois dans son travail ou pour sa culture personnelle, excellent qu'il aille de l'avant avec l'apprentisage d'une seconde langue ou d'une troisième langue. Mais là où il y a un problème c'est au niveau du bilinguisme institutionnel. Le Québec est un pays français. Bien qu'il soit excellent que ses citoyens puissent maitriser une seconde ou une troisième langue, le Québec est un pays français, et toutes ses institutions doivent le reflèter.
Les Québécois doivent s'opposer à la bilinguisation de son réseau scolaire public francophone au niveau du primaire, première étape dans le processus d'assimilisation à la culture anglo-saxonne majoritaire en Amérique du Nord. Il ne s'agit pas ici de nous opposer à la présence de cours d'anglais aux niveaux primaires et secondaires, mais de nous opposer à la transformation de notre réseau scolaire public francophone en réseau scolaire public bilingue avant d'être transformé en réseau scolaire public unilingue anglophone.
Plus que jamais à cause des communications et de la mondialisation, le français est menacé au Québec. C'est donc le rôle du Gouvernement du Québec de prendre les mesures qui verront en assurer sa survie tout en étant conscient de l'importance de la langue anglaise dans le contexte de la mondialisation.
Michel Lepage
Chef du Parti Indépendantiste.
Conseiller en opinion publique des Premiers Ministres
René Lévesque, Pierre-Marc Johnson, Jacques Pariseau, Lucien Bouchard et Bernard Landry
1975 - 2005.
Partie 1
M. Lepage, Bonjour
Je vous remercie pour votre message en rapport avec mon blog « La fête de notre Canada ». J’apprécie le ton et l’argumentation que vous employez.
Oui, j’ai écrit que le Canada était beau, mais je n’ai pas parlé que de ses paysages. Laissez-moi vous rappeler mon texte : « Le Canada est grand. Il est beau. Il est riche. Il est au top de toutes les statistiques de l’OCDE en rapport avec la qualité de vie, les soins de santé, l’éducation, le PIB, etc… Quel pays fantastique ! »
Par contre, je n’ai jamais parlé d’un bilinguisme constitutionnel, ni d’une école bilingue mais d’un enseignement de qualité de la langue anglaise dans nos écoles afin que nous jeunes puissent maîtriser cette langue devenue prédominante dans le monde.
Oui, le Québec est français et c’est bon ainsi. Je ne connais pas de Québécois francophones qui s’opposent à ce fait. Même parmi les plus fédéralistes. Pas moi, en tout cas.
Vous affirmez : « la bilinguisation de son réseau scolaire public francophone au niveau du primaire, première étape dans le processus d'assimilation à la culture anglo-saxonne majoritaire en Amérique du Nord ». J’aimerais bien voir une étude sérieuse qui démontre une telle affirmation. On ne parle que de l’enseignement de la langue anglaise… point à la ligne. Laissez-moi vous raconter mon histoire personnelle. Je suis né à St-Henri, et dès l’âge d’un an, ma famille a déménagé à Verdun dans le quartier 4, à 70% anglophone. Mes premiers amis d’enfance étaient anglais et mon père m’a toujours dit que j’avais appris l’anglais avant le français dans la rue avec eux. J’ai toujours fréquenté jusqu’à la neuvième année une école française de Verdun, puis les collèges Notre Dame et Mont Saint Louis suivis de l’École Polytechnique d’où j’ai obtenu mon diplôme d’ingénieur. Toujours en français. J’ai toujours eu une tendance « nationaliste ». J’ai été un leader étudiant dans la campagne favorisant le nom de Château Maisonneuve pour l’Hôtel le Reine Élizabeth. J’ai été initié Chevalier de Colomb, membre de la société St-Jean Baptiste de Montréal, de l’ordre Jacques-Cartier, etc.. J’ai créé un bureau d’ingénieur conseils en mécanique et électricité (il existe toujours après 56 ans) et une de mes premières actions (avant la loi 101) fut de franciser tous les termes anglais de robinetterie et autres que je retrouvais dans les devis de soumissions de ma spécialité (ex. robinet au lieu de « valve », robinet avec clapet oscillant de retenue au lieu de « back-water valve ») les entrepreneurs importants étant alors de langue anglaise. Malgré que je fusse parfaitement bilingue, malgré qu’un grand nombre de mes amis et clients fussent anglophones, jamais n’ai-je pensé devenir anglophone. Aucun de mes amis de Verdun, dans la même situation que moi, ne l’est devenu. Non, c’est irréaliste de prédire que le peuple français du Canada deviendra anglophone. Il ne l’est pas devenu dans les provinces où il est en forte minorité, il ne le deviendra pas au Québec où il domine. Oubliez, çà!
(suite... partie 2)
Partie 2 (Message à Michel Lepage)
Vous affirmez en plus : « nous opposer à la transformation de notre réseau scolaire public francophone en réseau scolaire public bilingue avant d'être transformé en réseau scolaire public unilingue anglophone ». Je ne comprends pas. D’où vient cette prévision farfelue ? Cette affirmation totalement irréaliste ? Sur quel fait sérieux est-elle basée ? Ce n’est pas dans la nature des francophones québécois de penser ainsi. Ils ne l’ont jamais fait et ils ne le feront jamais. L’Histoire du Québec nous démontre maintes fois qu’en tout temps les francophones ont été solidaires pour défendre leur langue et leurs droits. Pensez-vous vraiment que dans le futur ce peuple devenu plus éduqué et cultivé voudra perdre sa langue et accepter que le système scolaire soit unilingue anglophone ? Qu’il ne démontre plus sa solidarité, comme il l’a toujours fait, à ce point ? Franchement… M. Lepage, nous ne sommes pas ici dans le « melting pot » américain.
Vous ajoutez : « Il ne s'agit pas ici de nous opposer à la présence de cours d'anglais aux niveaux primaires et secondaires ». Eh bien, ce n’est pas ce que les Québécois pensent. Ils croient que les séparatistes sont contre l’enseignement de la langue anglaise dans nos écoles primaires et secondaires. Alors, si c’est vraiment ce que vous pensez, eh bien dîtes-le, hautement, clairement et souvent. Vous gagnerez des points dans l’opinion publique, car c’est ce que croit la très grande majorité de nos concitoyens.
Vous concluez : « Plus que jamais à cause des communications et de la mondialisation, le français est menacé au Québec ». Encore là, je crois que vous frappez à côté du clou ! Avec internet, aujourd’hui, on parle toutes les langues. Croyez-le ou non, un de mes petits fils, qui a quatorze ans, joue sur son ordi sur un jeu chinois et il semble bien comprendre car il gagne toujours de points… Ne me demandez pas plus d’éclaircissements, car, moi, malgré ses explications, je n’y comprends rien. Par ailleurs, j’écris mon blog en langue française (je pourrais le faire en anglais pour avoir plus de lecteurs américains) avec la possibilité pour mes lecteurs de le traduire dans la langue de leur choix via « traduction Google ». Je suis toujours surpris de recevoir des emails venant de gens de différents pays qui l’ont traduit dans leur langue et qui m’envoient un message de commentaires soit en anglais ou dans leur langue. Donc, mes écrits en français sont accessibles et compréhensibles à tous sur la planète et parce que je parle le français et l’anglais, je peux communiquer avec tout le monde. Comment ma langue peut-elle être alors menacée, si je peux me faire lire. Les nouvelles technologies ne la protègent-elle pas ? La langue française est universelle et au Québec nous sommes-là pour la préserver, qui que nous soyons. Je ne vois pas de traîtres dans nos rangs. Dormez-en paix!
Vous proposez : « l'apprentissage d'une seconde langue ou d'une troisième langue ». Il y avait jadis dans plusieurs collèges ou couvents, l’enseignement d’une troisième langue, telle l’espagnole. Cela n’a pas nui aux cours de ces élèves et a été très pratique dans la vie pour eux. J’en ai connu un grand nombre.
Vous terminez en affirmant : « l'importance de la langue anglaise dans le contexte de la mondialisation ». C’est mon argument principal pour mousser l’enseignement de la langue anglaise dans nos écoles, en plus du fait que nous vivons dans le Canada, pour que nous jeunes soient parfaitement bilingues et puissent trouver le meilleur chemin pour eux.
Je vous remercie de votre bonne attention.
Salutations cordiales
Claude Dupras
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